La certification bio, pas si beau

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Joëlle Février 2023

Avant toute chose, il ne s’agit pas d’un jugement dans ce qui va suivre mais d’une information afin de permettre à chacun d’en savoir plus sur certaines matrices d’enfermement qui ne sont ni plus ni moins qu’une forme de manipulation et de division, et de vampirisme.

Lorsque nous sommes divisés, par définition, nous ne sommes pas unis. Désunis, nous sommes facilement réduits à néant, au silence, et asservissables.

En ces temps si chaotiques en termes d’atteinte à l’humanité, et en même temps extra ordinaires en termes d’éclatement de vérités.

Revenons quelque peu en arrière dans le temps.

Au début du siècle dernier, vers 1900, avant que n’éclatent les 2 guerres mondiales.

Les êtres humains qui restaient habiter en campagne, disposaient pour la plupart d’un petit lopin de terre pour y cultiver un potager.

Nombreux disposaient même de quelques champs. C’étaient de petites parcelles cultivées à la main ou avec l’aide de la traction animale. Ces parcelles étaient bordées de haies champêtres, bocagères, fruitières, qui avaient l’avantage de nourrir les animaux, de nourrir les « mangeurs », prédateurs des insectes dits ravageurs dont la population était contrôlée naturellement. Ces haies nourrissaient également les humains. Elles coupaient également le vent, et créaient un micro climat pour les plantes sur la parcelle. Beaucoup étaient également plantées d’arbres fruitiers, qui apportent ombre, humus, mycorhizes et fruits, et compost avec leurs feuilles.

La « science » de la modification génétique du vivant n’avait pas été accaparée et placée entre les mains de quelques savants fous se prenant pour dieu.

Les paysans savaient hybrider naturellement leurs plants, et graines afin de maintenir et développer la diversité, l’adaptation aux terrains, aux conditions climatiques.

La culture « bio » et la permaculture était naturelle et organique. Beaucoup des techniques que nous re-découvrons aujourd’hui existaient déjà depuis des siècles auparavant.

Sur une succession de 3 à 4 générations d’humains, à l’aide de divers évènements et techniques, un petit groupe de personnes psychopathes ont accaparé les terres, les êtres vivants et la connaissance.

Les guerres mondiales, et les conflits incessants, les catastrophes dites « naturelles », les techniques de manipulation des masses ont détruit les connaissances, techniques et vestiges de tout cela.

Les administrations mises en place ont achevé de massacrer l’écosystème en place, avec le remembrement, la s@fer, la ms@, la multiplication des normes, contrôles, et législations en tout genre ont massacré la culture organique et respectueuse de l’environnement.

Afin de permettre d’arriver à obtenir l’auto soumission de l’humanité à son propre asservissement, la période d’après-guerre a été organisée de telle sorte que l’humanité a cru vivre l’abondance, grâce à la chimie, aux groupes agro-alimentaires, bancaires, à la pseudo culture avec l’éducation nationale et les groupes universitaires, etc.

Ensuite, a commencé le déclin volontaire de la part du petit groupe au pouvoir, afin de préparer le consentement de l’humanité à son propre asservissement pour espérer continuer à obtenir quelque faveur en échange d’une vie de labeur misérable.

Une plandémie et mascarade masquée est arrivée comme par enchantement pour réduire drastiquement les libertés individuelles pour obtenir le consentement vicié à des injections mortelles, et on continue les plandémies chez les animaux pour les exterminer parce qu’ils contribuent à « polluer ». De cette manière on peut les injecter pour continuer à propager du poison mortel à travers la nourriture.

On travaille sur un récit de fin du monde à cause du carbone.

La terre n’a jamais été aussi verte que depuis ces dernières 40 années, dites « carbones ».

On installe des éoliennes mortelles pour les êtres vivants, animaux, troupeaux, oiseaux sauvages, et humains à leur proximité. Sans compter que la planète qui ne parle pas souffre de toute ces machineries, accompagnées d’antennes 5G, de câbles et ondes en tout genre, de collisionneur du Cern, et de techniques cachées au public mais qui provoquent toutes sortes de dégâts comme nous pouvons le constater actuellement avec le séisme qui a eu lieu en Turquie ce 7 février 2023.

La méthanisation est une autre vaste fumisterie écologique.

(Il existe des ouvrages sur ses sujets, un éleveur qui a perdu ses bêtes à cause des éoliennes, un ingénieur à la retraite qui a enquêté sur la méthanisation..).

Les humains en viennent progressivement à être réduits à manger des insectes et des rations de survie parce que des psychopathes créent volontairement des famines et des catastrophes naturelles, tout en se déplaçant en jet privé, en mangeant du bœuf de Kobé, du caviar, des légumes n’ayant vu aucun produit phytosanitaire même « bio », le luxe en somme.

Les humains ne mangeaient aucun produit à base de pesticides ou herbicides ou insecticide il y a un siècle. Tout était naturel et organique, poussant à l’aide d’engrais naturels, de fumier, paille, de compost, de purins, de restes de nourriture.

Des humains ayant vécu à cette époque et revenant à la nôtre seraient septiques en voyant comment les humains vivent, coupés de la nature, coupés des voisins, des gens, de leur propre humanité, sans discernement, sans bon sens.

Donc concernant une certification « bio », qui coûte au bas mot 1 500 € pour commencer, dont tout le travail de préparation repose sur le fermier, et qui consiste en la préparation de toute sorte de classeurs répertoriant les produits utilisés, les formations faites dans l’année, les documents achetées, les semences, plants et alimentation pour animaux achetés, je ne prends pas mon ticket.

Sachant qu’il faut repayer chaque année – jackpot pour le certificateur.

Les certificateurs vivent grassement pendant que les fermiers survivent.

Les certificateurs accordent même des certificats au « bio » industriel qui n’a rien à voir en comparaison avec des produits soignés de petits fermiers.

Je travaille sur la base de la confiance et conscience morale.

Je dis ce que je pense, je fais ce que je dis.

J’ai besoin de pouvoir me regarder dans les yeux, et de pouvoir dormir la conscience tranquille.

J’ai appris à préférer à ne pas être considérée par une personne qui n’est pas en accord avec les valeurs morales qui sont importantes pour moi, plutôt que d’être hypocrite.

J’explique clairement tout au long des articles de ce blog, des ateliers et lors des échanges avec les personnes qui apprécient mes produits, mes pratiques, et les potions, et engrais organiques que j’utilise.

Je n’ai pas besoin qu’un certificateur, qui n’est pas fermier, qui n’a peut-être même jamais fait pousser un végétal ou élever un animal, vienne dire quelles sont les normes énergivores pondues par des personnes sans cœur, sans expériences, incompétentes et égotiques.

Je travaille avec les êtres vivants autour de moi, je communique avec la nature, j’observe et j’écoute les messages, et je n’abandonne jamais.

Le coût d’une certification, je l’utilise pour des semences de qualité, reproductibles, adaptées au terrain, l’achat de plants, d’outils de design de fleurs sans mousse (no foam), dans ma propre formation, l’information sur les techniques organiques d’autres fermiers, etc.. et je n’ai pas besoin de l’impacter sur le prix final des produits.

Si cette société était juste, et avait réellement à cœur la santé des humains, des êtres vivants, de la planète, tout le monde mangerait « bio », tout le monde serait libre et souverain, chacun aurait accès à une éducation de qualité, aurait une maison digne, des vêtements respectueux, une alimentation abondante et joyeuse, une « activité » qui remplit son cœur de joie et un repos mérité.

Au lieu de cela, où vont les bénéfices du « bio », des certificateurs, des formateurs, des nouveaux agri tech, des semences modifiées et brevetées, de l’agro-alimentaire ?

Pas aux fermiers, et ne sont pas répercutés sur les prix non plus, alors à qui profite le crime ?

Derrière tous les grands « noms » des défenseurs du climat se cachent des histoires pas « clean » du tout.

Charles III engrange un maximum de bénéfices avec ses investissements green, on continue la liste avec Soros et Gretha, Bill et Melinda, Xavier Neil, John Deere, toutes les marques bio de grande distribution, etc etc etc, la liste est longue comme le bras.

Il appartient à chacun de s’informer et de s’éduquer afin de faire des choix conscients.

Chacun est libre d’avoir ses propres convictions, les choses étant dites, les personnes qui viennent acheter les produits que je cultive sont informées, et libres d’acheter chez des producteurs plus en adéquation avec leurs convictions si nécessaire.

Avec cœur,

Joëlle